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Ursula von der Leyen : une marionnette du WEF, de McKinsey et de la Fondation Gates ? par Pierre d’Herbais

 

 

Ursula von der Leyen : une marionnette du WEF, de McKinsey et de la Fondation Gates ?

Le 29 mars 2025, Philippe Murer (Mouvement Politique Citoyen), publie un tweet incendiaire :

« Où l’on apprend que von der Leyen a été au conseil de surveillance du WEF, a participé au Bilderberg, qu’elle nomme Peter Piot conseiller spécial Covid (conseiller personnel de Bill Gates, lié au WEF…) ✅ La réalité est plus complotiste que je ne l’imaginais ! »

 

Un emballement complotiste ? Ou une vérité dérangeante soigneusement occultée ?

Derrière son mandat, les réseaux d’influence s’accumulent, et avec eux une question essentielle : qui dirige réellement l’Europe ?

Les peuples européens ne votent pas pour Ursula von der Leyen. Ils ne l’ont jamais élue. Son arrivée à la tête de la Commission européenne en 2019 n’est pas le fruit d’un choix démocratique, mais d’une décision de la caste politique et économique qui dirige l’Union Européenne. Pourtant, cette femme non élue impose des choix qui affectent la vie de millions de citoyens. Pire encore : derrière son apparente légitimité institutionnelle, se cache un réseau d’influences puissant, allant du Forum économique mondial (WEF) [1] à McKinsey, en passant par la Fondation Bill & Melinda Gates [2].

La gestion du COVID-19 a révélé au grand jour la collusion entre la Commission européenne et ces cercles de pouvoir privés. Décortiquons les faits.

 

Ursula von der Leyen : une présidente sous influence

Dès son arrivée à la tête de la Commission, Ursula von der Leyen affiche des liens étroits avec les élites mondialistes. Le World Economic Forum (WEF), ce lobby d’influence qui promeut la gouvernance mondiale au profit des multinationales, salue son accession au pouvoir et la considère comme une alliée de premier plan [1]. Mieux encore : elle a fait partie du Conseil de surveillance du WEF, comme le confirment les archives du Forum.

Mais ce n’est pas tout. Ursula von der Leyen a également participé aux réunions du Groupe Bilderberg [3], ce cercle fermé où se rencontrent chefs d’État, dirigeants de multinationales et oligarques pour fixer les grandes orientations du monde occidental… en dehors de tout cadre démocratique.

Alors, qui défend-elle vraiment ? Les peuples européens ou les intérêts de cette caste qui l’a placée là où elle est ?

 

Peter Piot : le conseiller COVID lié à la Fondation Gates

Lorsque la pandémie de COVID-19 éclate, Ursula von der Leyen nomme Peter Piot en tant que conseiller spécial sur le COVID-19 [4].

Qui est Peter Piot ? Un virologue belge de renommée internationale, co-découvreur du virus Ebola et ancien directeur exécutif d’ONUSIDA (1995-2008). Il a également collaboré avec la Fondation Bill & Melinda Gates [2], notamment en tant que Senior Fellow en 2009. En tant que directeur de la London School of Hygiene & Tropical Medicine (LSHTM) depuis 2010, il a supervisé des projets financés par la Fondation Gates [5][6].

Nous étions donc censés croire que la gestion du COVID-19 en Europe reposait sur des décisions objectives et indépendantes ?

 

McKinsey : le cabinet de l’ombre qui dirige l’Europe ?

L’autre grand bénéficiaire de cette crise, c’est McKinsey.

Ce cabinet de conseil américain a déjà piloté la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron en 2017, avant de décrocher des contrats faramineux avec l’État français pour gérer la crise sanitaire.

Mais McKinsey ne s’est pas contenté d’orienter la politique française. L’Union Européenne elle-même a eu recours à ses services pour « optimiser » la campagne vaccinale. Ursula von der Leyen a négocié des milliards d’euros de vaccins… par SMS, des échanges qui ont mystérieusement disparu lorsque des journalistes ont tenté d’y avoir accès.

Encore une coïncidence ?

 

Sommes-nous encore en démocratie ?

À chaque étape de la gestion de cette crise, nous retrouvons les mêmes acteurs, les mêmes intérêts, les mêmes réseaux d’influence :

  • Le WEF, qui place Ursula von der Leyen dans ses cercles de pouvoir [1].
  • La Fondation Gates, qui finance son conseiller spécial [2].
  • McKinsey, qui récupère des contrats juteux et oriente la stratégie sanitaire.

Aucun de ces acteurs n’a été élu par les peuples européens. Aucune transparence, aucun contrôle démocratique, aucun contre-pouvoir.

Alors posons-nous la seule question qui vaille : sommes-nous encore en démocratie ? Ou bien sommes-nous dirigés par une mafia qui a privatisé nos institutions pour servir ses propres intérêts ?

Sortir de l’Union Européenne n’est plus une simple question politique. C’est une question de survie.

 

 

Sources :

[1] https://www.weforum.org/stories/authors/ursula-von-der-leyen/
[2] https://www.gatesfoundation.org/ideas/media-center/press-releases/2009/01/dr-peter-piot-joins-foundation-as-a-senior-fellow?
[3] https://en.wikipedia.org/wiki/2015_Bilderberg_Conference?
[4] https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/IP_20_883
[5] https://www.lshtm.ac.uk/newsevents/news/2016/bill_gates_visit.html
[6] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants/2016/11/OPP1158709

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